Mais communiquons-nous vraiment ? En famille, au couple tel au boulot, il n’est pas forcement evident d’engager votre dialogue constructif avec les diverses relations. Recommandations pour retablir la communication.
1. Commencer avec se faire bien saisir
L’essentiel est de ne point oublier le proverbe « ce qui se concoit bien, s’enonce clairement ». Il ne s’agit nullement tant ici d’effectuer attention a une diction qu’aux mots employes pour faire passer son initiative, exige ou besoin. Pour la psychologue Marie Andersen, auteure de Tout s’arrange avec des mots (HugoDoc) nous supposons a tort, surtout en relations de couple, que celui qui nous ecoute recoit notre message oral exactement tel que nous souhaitons lui transmettre. « Correctement souvent, nous parlons sans reflechir a ce que nous disons vraiment. En permanence, ceci se revele beaucoup fonctionnel pour bon nombre de echanges, mais en cas de probleme ou lors d’une relation tendue, il va falloir absolument peser les mots et redoubler d’attention. » Pour elle, il convient aussi d’adapter notre discours suivant 3 niveaux d’attention :
Niveau 0 : Dans le contexte de discussion quotidienne, nous laissons librement notre parole s’ecouler. J’ai communication n’a gui?re d’autre but que de coder du lien social.
Niveau 1 : Face a 1 probleme ou a la necessite de prendre une decision commune, il convient de s’interroger « Qu’est-ce que j’ai envie dire exactement ? Quel reste le souhait exact ? ». Cette reflexion va permettre d’organiser nos pensees, chose essentielle dans un echange plus complexe.
Niveau 2 : Une fois determine ce que nous voulons dire exactement, encore faut-il s’interroger dans la maniere dont nous allons faire passer le message a notre interlocuteur. Notre discours doit alors s’adapter au regard de ce que nous savons de lui ainsi que sa propre facon de communiquer. Si nous nous trouvons en face de quelqu’un de susceptible, comme, si nous souhaitons que une telle personne comprenne notre message il faudra veiller a ne point la vexer.
2. Ne point oublier d’ecouter
Prendre garde a votre que l’on devoile reste la toute premiere etape d’une communication reussie, mais i nouveau faut-il savoir ecouter l’autre ! Sans ecoute adaptee, le dialogue entre 2 personnes se resume a 1 simple monologue a 2 voix, ou tous demeure concernant ses positions, sans veritablement echanger. « Notre communication se rapproche d’un travaux de danse, precise Marie Andersen. Dans l’ecoute, nous nous laissons guider par l’autre, nous nous mettons dans ses jamais, sans essayer a tout tarifs de remplacer le tempo ou le rythme pour qu’il nous convienne absolument. ». L’astuce pour nous placer en situation d’ecoute optimale reste alors de s’imaginer passager d’une voiture, tel l’explique la psychologue :
« Ecouter, c’est d’abord Realiser le choix de partager un moment avec l’autre a bord de sa « voiture de life » avec ses histoires, ses choix et ses decisions propres. Si nous ne sommes pas en position de tout comprendre, il convient s’abstenir au maximum d’etre dans le jugement. Nous n’avons nullement le volant entre les mains et y n’y a rien de pire pour 1 conducteur que d’etre sans arret critique sur sa facon de conduire. De meme, nous ne pouvons gui?re freiner ou accelerer a sa place. On doit donc le laisser parler a son rythme, ne pas le brusquer ou de le couper, rester a sa place d’ecoutant. Tout au plus, nous pouvons lui demander de preciser sa pensee, l’inviter a parler a c?ur ouvert, cela revient a actionner les phares pour lui eclairer la route. Et si nous ne savons pas comment nous placer, il est toujours la roue de secours, l’ecoute completement silencieuse qui cree votre cadre de parole tres rassurant. »
Pour aller plus loin
3. Accepter nos differences
J’ai communication reste un jeu a deux (au minimum) qui necessite de savoir faire des compromis et ne pas oublier que l’optique d’un dialogue est d’etre enrichissant. Il ne s’agit donc nullement d’une bataille d’ego dont l’objectif pourrait etre d’effectuer accepter de gre ou de force a l’autre des envies, opinions ou souhaits. Ca reste d’autant plus bon dans le cadre d’une dispute ou la recherche d’une concorde mutuelle s’efface beaucoup vite Afin de laisser place a une lutte sans merci pour definir qui a raison. Pour eviter votre ecueil, l’humilite est votre partenaire indispensable dans la communication :
« Il y a de multiples facon d’effectuer du « terrorisme relationnel » : exprimer sa colere sans retenue, nier l’expression de l’autre, le culpabiliser, lui refuser l’ecoute… Dans l’ensemble des cas, adopter votre posture revient a degrader la communication a une banale domination de l’autre, une technique que les manipulateurs aiment par-dessus bien ! Une cle pour empi?cher ceci, c’est d’accepter de se remettre proprement dit, etre capable de dire « Je comprends ta position » le plus sincerement possible. L’important, meme dans un echange tendu, reste toujours d’exprimer sa position a l’autre et d’entendre la sienne. S’il reste deja difficile a autre normal de parvenir a Notre concorde, quand l’enervement reste present, vous devez avoir l’intelligence d’effectuer un pas de cote Afin de calmer le jeu. »
Pour aller plus loin
4. Mettre son telephone de cote
Constamment, nous multiplions les application des rencontres de voyage echanges par messages ou sms. Cette nouvelle forme de communication, quasi-compulsive, est paradoxale puisqu’elle cree a la fois une fatigue communicationnelle et un besoin de retrouver un vrai dialogue constructif et enrichissant au sein de le couple, aupres des enfants ou des amis. D’ou la necessite de s’amenager des espaces sans portable. A table ou en terrasse, laissez votre telephone dans votre sac. Vous avez tout a y gagner : une meilleure attention sur ce qui se dit et i propos des emotions que le discours de l’autre fera naitre en vous. Sophie Andersen rappelle que, bien souvent, les messages ou messages ne semblent pas prioritaires sur une conversation en direct :
5. Des cas pratiques
Bien communiquer avec 1 enfant : « Nous imaginons trop souvent les enfants comme des pages blanches que nous devons remplir de les paroles, injonctions, conseils, avis. Mais un enfant a besoin de s’exprimer et d’etre vraiment ecoute, rappelle Sophie Andersen. Il ne va falloir gui?re hesiter a l’inviter a nous expliquer le plus clairement votre qu’il ressent et essayer de saisir sa logique. Notamment, lorsqu’un enfant ne veut nullement aller a l’ecole, nous avons mode a trouver cela normal et a essayer de degoter des parades Afin de minimiser ca « ce n’est pas si terrible, l’ecole est obligatoire etc. ». Alors que prendre 5 minutes pour cerner ce qui a cree une telle angoisse de l’ecole est essentiel Afin de etablir une bonne communication avec son enfant et deceler une difficulte d’integration, votre blocage scolaire, une peur jusqu’a present non identifiee… »
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